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ateliers plus restreints, de les conduire en ligne ou même de mener des entretiens individuels té-
léphoniques avec les experts.

Le Tableau 1 dresse une vue d’ensemble de la structure de travail des groupes de discussion à

travers tous les pays. Comme prévu, des groupes de discussion ont été établis dans tous les pays
partenaires entre le 27/01/2021 et le 30/03/2021. La plupart des partenaires ont adhéré à la pro-
position visant à mener les groupes de discussion en deux sessions de groupe différentes ; TILI/ES

a opté pour une organisation du travail en quatre sessions différentes. Auxilium/AT a décidé de

recueillir les données à partir d'entretiens individuels avec des experts, sachant que l’Autriche était
entrée dans sa troisième période de confinement à cette époque et qu’il était par conséquent
difficile d'atteindre autrement les groupes de discussion concernés. Tous les autres partenaires

ont cependant également été affectés par la pandémie de COVID-19 et les restrictions qu’elle a

entraînées, comme en témoigne le fait que seul TILI/ES a pu organiser la tenue physique de quatre
réunions de groupes de discussion.

La durée totale des ateliers et des entretiens a été de 66 heures (contre 56 heures prévues à l'ori-
gine), sachant que les partenaires qui ont effectué le plus de sessions sont également ceux qui y

ont consacré le plus de temps. La durée de ces sessions est importante car on peut supposer qu'il
existe un certain degré de corrélation positive entre la durée de temps passée sur le thème recher-

ché et la quantité et la qualité des résultats des travaux. Compte tenu de cette durée d'engage-
ment totale de près de 70 heures, on peut estimer que cet indicateur de qualité a été atteint. Bien

entendu, la durée ne saurait être le seul critère décisif : la manière dont ce temps est utilisé pour
produire un travail de qualité et documenter les résultats est déterminante. Il est néanmoins ras-

surant de savoir qu'une somme de temps adéquate a été consacrée à cette tâche.

Un autre indicateur de qualité dans ce type d'enquête consiste à interroger des personnes qui

justifient d'une expérience et d'une expertise suffisantes dans le domaine étudié et qui sont prêtes
à les partager de la façon la plus impartiale et la plus neutre possible (ce qui est généralement plus

difficile qu'il n'y paraît). Dans la mesure où nous nous intéressons essentiellement à l'expérience
des acteurs de la formation professionnelle en matière de technologies immersives en général et

à leur utilisation dans l'enseignement en particulier, nous avons sélectionné trois groupes cibles
clés au sein de chaque pays partenaire : (a) 10 acteurs de la formation professionnelle (les éduca-

teurs qui dispensent directement les cours et travaillent avec les élèves) ; (b) 5 représentants de
parties prenantes (administrations scolaires, conseils d'établissement, associations profession-

nelles, associations scolaires, associations de parents, décideurs de politiques éducatives, parte-
naires sociaux, etc.) (c) 3 autres experts tels que des universitaires et des chercheurs spécialisés

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